dimanche 19 juin 2011

Là-haut sur la montagne

Et que m'importe cette vie,
Pourvu qu'elle serve à mon idée
Et que m'importent toutes ces filles,
Que j'n'ai jamais su aimer, su aimer

Elle était blonde, elle était belle,
Et puis un jour elle est partie, elle est partie.

En emportant tout derrière elle,
Mon coeur, mon chagrin et ma vie oui, ma vie.
Et quand je partirai en guerre,
Le coeur triste toujours devant, toujours devant
Je penserai encore à elle,
Avant d'crever pour de l'argent, pour de l'argent

2 commentaires:

  1. Quand bien même ça ne serait pas la malice qui est dépeinte ici, de se dire que ça pourrait être elle c'est toujours aussi... rha comment l'expliquer... Disons que désormais, ce n'est plus le lapin blanc qu'on traque, c'est la Malice elle-même et ce genre d'illust lui ressemblant fait office d'indice, de trace... That'll be a shame if I never get to pay her a tribute some day.

    RépondreSupprimer
  2. A vrai dire c'est plus que le perso, c'est ce qu'il représente...tu connais l'histoire.
    Et s'il t'inspire toujours, c'était réciproque et mis à part la couleur des cheveux, tu auras fait partie de ses avatars, et tu restes ma seule modèle à ce jour...les gens sont d'ordinaire si réfractaires à l'art *sigh*

    RépondreSupprimer